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L’année de la putain Petits romans et autres nouvelles De Anouar Benmalek

2 mars 2012

Anouar Benmalek

L'année de la putain - Anouar Benmalek
Paru le :05/01/2006
Editeur : Fayard
Collection :Litt.gene.
ISBN :2213628068
EAN :9782213628066
Nb. de pages :

Quatrième de couverture

Que fit Eve face au premier meurtre de l histoire des hommes ? Que fait un petit garçon des rues de Djakarta quand son amant le quitte ? Comment réagit-on quand celle qui vous déniaise si délicieusement est en même temps une voleuse ? Comment découvre-t-on, en plein désespoir, son Andalousie intérieure ? Voilà quelques-unes des questions que se posent les protagonistes de ce recueil qui, en neuf récits, raconte l amour, la peine de vivre et l envie passionnée d être heureux malgré tout.

Dans la presse

Le Monde, Ph.-J.C., 17 mars 2006: « … Histoires de ruptures, d’abandon ou de trahison. En courts récits, qui assument le fait d’hésiter entre le roman et la nouvelle, se jouant, après une ouverture sur la Genèse, de la chronologie du XXe siècle comme de l’espace (Djakarta, le Liban ou le Nicaragua répondent au fil rouge algérien), Benmalek affronte des cas d’école douloureux… Si la quête du bonheur est un moteur fragile, l’échec même ne pèse guère: « La montagne ne se rendit compte de rien et continua d’être belle »… »

Brèves, Jean-Loup Martin, septembre 2006: « … Neuf nouvelles rudes, implacables, qui ne laissent pratiquement aucune place (ou si peu) à l’espoir, au bonheur… Avec une lucidité implacable, une ironie cinglante, qui n’excluent pas la compassion pour les victimes, l’auteur nous présente des êtres humains, nos semblables, dans toute leur horreur : lâcheté, trahison, cruauté, sadisme, mais aussi leur grandeur : le courage, l’amour, l’amitié… Ce livre, à la fois terrifiant et salutaire, à lire absolument… »

Edelwweiss (Lausanne), 1 juillet 2006: « Une écriture résolument orientale, des décors poussiéreux et lumineux et des personnages attachants habitent chacune des nouvelles d’Anouar Benmalek. Ces récits soulignent avec force et délicatesse la fatalité de l’enfance perdue, de la pauvreté, de la douleur, avec en filigrane, une critique acérée de la condition humaine. Une quête du bonheur irradie pourtant chacun des protagonistes, qui s’érigent en gardiens de questions lancinantes et universelles »

L’Intelligent- Jeune Afrique, Olivia Marsaud, juillet 2006: « …Neuf textes courts et denses traversés à la fois par la peine de vivre et la joie d’être au monde… Anouar Benmalek décrit la violence psychique, qui conduit à la lisière de la folie, mais aussi la violence physique…

Le Courrier de l’Ouest, Y. Dv, 6 février 2006: « … Question: Mais de la littérature, nous ne faisons pas le même usage… Réponse de A.B: La littérature apprend la diversité des expériences humaines, la diversité des mondes intérieurs de chacun. C’est pourquoi je considère qu’un amateur de romans ne peut être un fanatique. Le fanatisme est la non acceptation de l’imagination qui, pourtant, fait la grandeur de l’être humain… »

La Dépêche du Midi, 31 mai 2007: « … Bouleversant… »

Sucy-Info, juin 2006: « … Un recueil de neuf nouvelles qui raconte l’amour, la peine de vivre et l’envie passionnée d’être heureux malgré tout… Chacune pourrait faire l’objet d’un roman… »

Le Jeune Indépendant, N.B. 22 juin 2006: « … Écrivain de renommée internationale… »

El Watan, Zineb Merzouk, 21 juin 2006: « … Un auteur talentueux que l’Expresse avait surnommé le Faulkner méditerranéen… On pourrait passer des heures à l’écouter et à rapporter ses propos… D’emblée on est séduit par sa « philosophie » de la vie, par sa simplicité et sa sympathie… Faroudja, la plus terrible des nouvelles… »

Liberté, Nora Sari, 20 juin 2006: « … Interrogé sur Ève, la première nouvelle du recueil, le romancier explicitera ses choix, ses questionnements, son sentiment face au premier meurtre de l’histoire de l’Humanité: Chaque grande religion monothéiste débute par un meurtre, dira-t-il, Comment Ève a-t-elle réagi à l’assassinat de son enfant en tant que femme et en tant que mère? Aucun texte n’a évoqué son chagrin… »

Le Soir D’Algérie, Sam H., 23 juin 2006: « … Anouar Benmalek, cet auteur qui plonge le coeur en avant à la recherche de ce sentiment d’espoir dans une mare d’espoir. Il a souvent été considéré par ses lecteurs et critiques comme un pessimiste. Cependant, aux mercredis du verbe organisés par l’établissement Art&Culture, il est apparu à son public comme une lueur d’espoir dans la l’univers sec de la littérature algérienne.

El Fajr, Dahbia Abdelkader, 24 juin 2006:  » … Anouar Benmalek a insisté sur le fait… que personne n’a le droit d’interdire les écrits d’un écrivain, quel qu’il soit, assurant que la diversité en Algérie ne peut être qu’une richesse… »

El Ahdath, Wassila B., 22 juin 2006: « … L’écrivain… revient sur des époques historiques cruciales pour donner une éclairage sur le présent… »

Le jour d’Algérie, Hacène K., 25 juin 2006: « … Anouar Benmalek s’élève par ailleurs [au cours de cette rencontre littéraire] contre la politique du livre pratiquée en Algérie: C’est une trahison que d’étouffer l’auteur algérien chez lui… Je ne saisis pas la politique d’un pays, prêt à subventionner une carte pour avoir droit aux images du Mondial du football alors qu’il se montre chiche sur les moyens à même de promouvoir le livre… »

El Fajr, D. Abdelkader, 27 juin 2006: « … Des personnages de cultures différentes se rencontrent dans la douleur et le chagrin… »

La Nouvelle république, Hassina A., 25 juin 2006: « … Aujourd’hui, c’est un auteur prestigieux qui fait le déplacement depuis la France pour venir rencontrer ses lecteurs… Discussions qui ont, bien évidemment tourné autour de cette ultime publication mais aussi des oeuvres maîtresses d’Anouar Benmalek et de sa vision « peptimiste » (dixit Émile Habibi) de la vie. En tant qu’écrivain, pour moi, c’est une blessure importante que mes livres ne soient pas lus en Algérie. On n’existe pas ici à cause de la censure financière. Les livres sont trop chers, dira-t-il d’emblée… »

L’Expression, O.H., 22 juin 2006: « … Écrire pour dire la véracité de l’imagination… »

La Dépêche de Kabylie, Fazila Boulahbal: « … Un hymne à l’amour… Romancier [au] parcours aussi riche qu’important… »

El Watan, Zineb Merzouki, 21 juin 2006: « … L’auteur des Amants désunis nous livre un recueil de petits romans et de nouvelles étonnamment brillantes, qui prend aux tripes et qui entremêle douleur et plaisir. Mais avec tant d’oublis, comment faire une rose? (Jules Supervielle), lit-on au début du livre, un peu comme pour annoncer la couleur… La langue d’Anouar Benmalek exprime la vie, ce qu’elle a de meilleur et de pire… »

La Tribune, A.L., 28 juin 2006: « …Si Dieu ou le Hasard n’avaient pas créé Anouar Benmalek, il aurait fallu l’inventer… »

L’Expression, I. Ghioua, 26 juin 2006: « … Anouar Benmalek à Constantine… Le retour 20 ans après… L’auteur cherche, dans son combat humaniste, la réconciliation avec l’œuvre littéraire… »

Info Soir, Louisa Kendil, 23 juillet 2006: « … Remarquable œuvre de fiction… Voyage aux confins des soubresauts de l’humanité dans sa folie meurtrière… »

El Chaab, Oussama Ifrah, 26 juin 2006:  » …Anouar Benmalek le confirme: Il n’y a pas de limites dans l’écriture… »

El Fadjr, Dahbia Abdelkader, 2 juillet 2006: « … Merveilleuse histoire d’Ève… « 

Mercredis du Verbe, Lazhari Labter, 15 juin 2006: « … Neuf récits aussi poignants les uns que les autres… Écrivain iconoclaste… défenseur des droits de l’homme… redoutable questionneur… En créant Anouar Benmalek, Dieu, ou le Hasard, ne jouait probablement pas aux dès… « 

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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