Paru le :26/08/1998
Editeur :Calmann-levy
Collection : C-levy
ISBN :2702129129
EAN :9782702129128
Nb. de pages :
Quatrième de couverture
Une vieille dame erre dans le cimetière d’Alger. Elle cherche avec avidité deux prénoms : Mehdi et Myriem, ceux de ses enfants égorgés autrefois par des combattants du FLN persuadés que leur père, Nassreddine, avait trahi.
De cet époux algérien, Anna, la Suissesse, n’a gardé qu’un anneau de mariage, et le souvenir d’un grand amour fauché trop tôt. Après quarante ans d’absence, elle revient à Alger et envoie un télégramme à Nassreddine : rendez-vous sur la tombe de leurs enfants, dans son village natal.
Mais Anna, l’étrangère, doit d’abord se trouver un petit allié dans l’Algérie d’aujourd’hui. Ce sera Jallal, un gamin rencontré place des Martyrs et qui pleure en vendant des cacahuètes. Il accepte de servir de guide à Anna, déguisée en musulmane. La « grand-mère » et le « petit-fils » tombent aux mains d’un groupe de combattants d’Allah. Nassreddine parviendra-t-il à la rejoindre avant que son destin ne soit tranché par la lame d’un couteau ?
Dans la presse
L’Express, Pascal Dupont, 10/9/98: « … Anouar Benmalek. Retenez bien ce nom. C’est l’une des plus brillantes signatures de la rentrée… Un Faulkner méditerranéen… »
Le Monde, Jean-Noël Pancrazi, 9/9/98: « … Art de visionnaire… Force tendre, sensualité… Fresque blessée dont la beauté défie tous les instincts de mort… »
Le Magazine Littéraire, Jean-Paul Dollé, octobre 98: « Si vous aimez les grands romans d’amour et d’aventure, si vous croyez que la littérature fait mieux comprendre les situations extrêmes que n’importe quel traité de stratégie… alors lisez Les Amants Désunis d’Anouar Benmalek… Un beau livre grave et déchirant… »
Témoignage chrétien, M. Ch., 29/10/98: « … Histoire bouleversante et dramatique… Ce beau récit… »
Le Point, P.N, 27/11/98: « Belle réussite… Pitié, tendresse et quelque chose qui ressemble à l’espoir!… »
L’Humanité, Régine Deforges, 4/8/98: « …Un roman remarquable et bouleversant… On souffre, on rit, on espère avec eux. Il faut lire ce très beau roman!… »
Marianne, Olivier Maison, 2/11/98: « … Cette saga romanesque revisite l’histoire du XXème siècle vue de l’autre côté de la Méditerranée… »
La Montagne, N.V.P., 30/10/98 « … L’une des révélations de la rentrée littéraire… Le public s’est emparé de cette fresque brûlante et l’écrivain algérien se trouve brutalement au sommet de la pyramide. Avec un possible prix Fémina… »
Gala, 1.10/98: « …Effroyable et magnifique, un roman qui dit l’amour, la vie, contre la folie des hommes… »
Elle, Régine Deforges,14/9/98: » … Remarquable… Ce livre [...] m’a beaucoup touchée… »
Lire, Ingrid Merckx, été 2000 : « … Les mots sonnent incroyablement juste, dans toutes les bouches, dans tous les dialectes… C’est un voyage ému au cœur d’une Algérie qui crie; de douleur, de révolte, mais aussi d’amour… »
Le Magazine Littéraire, février 2001 : « … Une très belle chronique des jours durs et des âmes fortes… »
Le Nouvel Observateur, Dominique Fernandez, 5 Novembre 1998: « …Anouar Benmalek, sans forcer le ton, sans pathos, nous jette dans ce chaos de violence et de sang. La force de son livre vient de la sobriété du récit… Entre la vieille dame et le marmot se tisse une étrange et belle amitié. Pas d’idéalisation, oh non! ni d’un côté ni de l’autre… Le lecteur retiendra… l’image nue et crue du petit garçon sans enfance, martyr sans foi, rebut sans foi, rebut sans rédemption, agneau sans Dieu… »
El Watan, Farida A., 18/11/98, « … Un livre fort, une plume acérée, des personnages authentiques, un thème d’une brûlante actualité… Les ingrédients sont réunis pour faire de cette lecture un moment privilégié… »
Le Matin (Alger), Nassima Hand, 25/8/99: « … Dans le rire et les larmes… Amour et espoir au cœur même du désespoir… »
Le Généraliste, M.P, 6/01/99: « … Magnifique et terrifiant! Les Amants désunis, de l’Algérien Anouar Benmalek, est un roman d’une exceptionnelle qualité émotionnelle… »
2 mars 2012
Anouar Benmalek