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La corne d’abondance

23 mars 2012

Expression

La corne d'abondance dans Expression amalthé-112x150Signification de l’expression : La corne d’abondance

La source d’abondantes richesses.

Origine

La mythologie grecque raconte qu’à sa naissance, la mère de Zeus confia son enfant à la chèvre Amalthée. Elle craignait en effet que le bébé ne soit mangé par Cronos, son père. Un jour, Zeus cassa une des cornes de sa nourrice. Plus tard, pour se faire pardonner, il donna à cette corne le pouvoir d’abonder de fleurs et de fruits. Cette « corne d’abondance » représente la richesse et la fécondité.

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À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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4 Réponses à “La corne d’abondance”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    AMALTHÉE, CHÈVRE NOURRICIÈRE DE JUPITER SUR LES MONNAIES ROMAINES

    Amalthée, c’est le nom de la chèvre dont la mythologie gréco-romaine fait la nourricière de Jupiter enfant. Pour remercier la chèvre de ses bons offices, le dieu des dieux la plaça, avec ses deux enfants, comme une constellation dans le ciel et donna une de ses cornes aux nymphes qui avaient à charge de s’occuper de lui; cette corne avait la capacité de produire tout ce qu’elles désiraient. C’est pourquoi cette corne a été baptisée en latin cornucopia, c’est-à-dire littéralement la « corne pleine », plus connue sous le nom de Corne d’Abondance, si souvent représentée sur les monnaies Grecques et sur les monnaies romaines.

    Comme une allusion à la chèvre Amalthée en tant que « Nutrix Jovis infantis » (c’est à dire la nourrice de l’enfant Jupiter), des monnaies d’or et d’argent de Domitien portent sur leur revers l’image d’une chèvre dans une couronne de laurier et la légende « Princeps Juventutis ». Sur une monnaie de bronze d’Hadrien marquée SC, l’enfant Jupiter est représenté sous la chèvre Amalthée. On voit parfois l’enfant Jupiter représenté sur les monnaies romaines sur le dos de la chèvre Amalthée.

    Sur le revers d’une monnaie de billon de Gallien, sur laquelle est inscrite la légende « Jovi Conservatori Augusti », il y a, au lieu de la figure habituelle de Jupiter en majesté, une chèvre représentant Amalthée. Cet épisode de la mythologie se voit aussi sur des monnaies de Salonin, sur lesquelles on voit un jeune enfant nu chevauchant la chèvre Amalthée.

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  2. Artisans de l'ombre Dit :

    Il est raconté, dans les mythes grecs, que la bonne chèvre Amalthée, grâce à son bon lait a nourri Zeus.
    Mais voilà que plusieurs versions sont contées et qu’il n’est pas facile d’en tirer la bonne… Voyons voir un peu.

    Amalthée (en grec ancien Ἀμάλθεια / Almáltheia) est une figure incertaine donc de la mythologie grecque associée à l’enfance de Zeus.

    Emmené en sécurité par sa mère Rhéa, sur l’île de Crète, au Mont Ida, Zeus est nourrit par le bon lait de la chèvre Amalthée aidée par les abeilles distillant pour l’enfant le miel le plus doux qu’il soit ; sous les yeux attentifs des Nymphes qui veillent et protègent notre dieu.
    Zeus grandit très vite et acquiert de la force sans en savoir la mesurer. Un jour, Zeus emplit de colère, et voulant jouer, souleva la chèvre et la jeta contre les parois de la grotte qui l’abritait. Sous l’effet du choc, Amalthée perdit une corne. Zeus un peu triste et pour ce faire pardonner, prit la corne et lui conféra des pouvoirs magiques.
    La corne fût nommée « Corne d’abondance » car elle se remplissait de fruits de toutes sortes au fur et à mesure qu’elle se vidait.

    Selon Zénobe, Zeus honore ensuite Amalthée en la plaçant comme la constellation du Capricorne dans le ciel, ou encore comme simple étoile (Capella*, « la chèvre », c’est-à-dire α du Cocher*).
    Selon d’autres traditions, à la mort de la chèvre, Zeus aurait pris sa peau pour en revêtir son égide* : le terme grec αἰγίς / aigís signifie en effet également « peau de chèvre ».

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  3. Artisans de l'ombre Dit :

    2°/ Selon Ovide (dans Fastes,V):
    Amalthée est une nymphe à qui Zeus est confié encore enfant par Rhéa, sa mère, pour échapper à la jalousie de Cronos et pour éviter qu’il soir dévorer comme ses frères et soeurs par ce père.
    En crète, sur le Mont-Ida, Amalthée prend soin du jeune dieu en le nourrissant grâce au lait d’une chèvre ; mais celle-ci cassant un jour une de ses deux cornes, « Amalthée ramassa cette corne brisée, l’entoura d’herbes fraîches, la remplit de fruits, et la présenta ainsi aux lèvres de Zeus ». Zeus par reconnaissance mit la nymphe et la chèvre au rang des astres (La constellation du Capricorne.
    Quand Zeus combattit contre les titans, il se fit une armure avec la peau de cette chèvre : l’égide.

    Voilà en deux versions différentes comment on peut conter un mythe sur le même personnage fictif….
    Quand à la Corne d’Abondance viendra plus tard un autre mythe dont j aurai le plaisir de mettre en ligne. A bientôt…
    Bonne fin de soirée
    Mélusine

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    Cronos

    Dans la mythologie grecque, Cronos ou Kronos (en grec ancien Κρόνος / Krónos), fils d’Ouranos (le Ciel) et Gaïa (la Terre), est le roi des Titans et le père de Zeus, Poséidon, Hadès, Héra, Déméter, Chiron et Hestia. Il est souvent confondu avec son homophone Chronos (Χρόνος / Khrónos), divinité primordiale du temps dans les traditions orphiques. Il a été assimilé à Saturne dans la mythologie romaine.
    Mythe

    Succession d’Ouranos
    Fils d’Ouranos (le Ciel) et Gaïa (la Terre), Cronos appartient à la première génération des dieux ; il est le plus jeune des Titans, les douze enfants divins possédant une apparence normale1.
    Homère et Hésiode2 le nomment « le dieu aux pensées fourbes3 » ou « à l’esprit retors4 » (ἀγκυλομήτης / ankulomētēs, littéralement « recourbé »), terme qui s’applique peut-être originellement à sa faux5. Hésiode ajoute qu’il hait son père, lequel voue les mêmes sentiments à ses enfants, sans que l’on sache si cela s’applique seulement à ses enfants difformes — les Cyclopes et les Hécatonchires — ou à l’ensemble de sa progéniture6. Dès leur naissance, Ouranos les emprisonne dans le sein de leur mère. Furieuse, Gaïa fabrique une faucille en acier et demande à ses enfants de l’aider à se venger, mais seul Cronos répond à l’appel7. Placé en embuscade, il attaque Ouranos alors que celui-ci vient se coucher avec Gaïa, et de sa faux, lui tranche les testicules, qu’il jette à la mer. Ouranos leur donne alors le nom de « Titans » parce que, précise Hésiode, ils ont tendu le bras trop haut et parce que l’avenir saura en tirer vengeance8. Ouranos et Gaïa avertissent également Cronos qu’il sera détrôné à son tour par son propre fils9.
    Hésiode n’indique pas que Cronos assume le pouvoir à la mort de son père, même s’il mentionne par ailleurs qu’il règne parmi les Immortels10. En revanche, des sources plus tardives indiquent qu’une fois libérés, les Titans accordent le trône à leur frère, dont la première mesure est de jeter dans les profondeurs du Tartare ses frères difformes, les Cyclopes et les Hécatonchires11.

    Succession de Cronos

    Rhéa présentant une pierre emmaillotée à Cronos
    Dessin du bas-relief d’un autel romain
    Cronos épouse sa sœur Rhéa. N’oubliant pas la prophétie de ses parents, il dévore chacun de ses enfants au fur et à mesure qu’ils naissent : Hestia, Déméter et Héra, puis Zeus, Hadès, et Poséidon sont ainsi avalés par Cronos12. Lorsque arrive le sixième, Rhéa, sur le conseil de sa mère Gaïa, cache l’enfant en Crète et le remplace par une pierre que Cronos engloutit directement13.
    L’enfant ainsi épargné est Zeus. Il grandit loin de ses parents, et une fois parvenu à l’âge adulte, veut libérer ses frères et sœurs. Avec Gaïa, il s’arrange pour les faire recracher à son père — Hésiode ne précise pas comment, mais des sources tardives précisent que c’est Métis, déesse de la ruse, qui offre à Cronos un émétique14. Celui-ci vomit alors tout ce qu’il avait ingurgité jusque là, y compris la pierre qui l’a abusé, que Zeus place ensuite à Delphes15. Une variante orphique veut que, sur suggestion de Nyx, Cronos ait été drogué avec du miel, attaché puis castré à son tour16. Alors Cronos recracha ses enfants. En tout état de cause, il finit jeté dans le Tartare, tandis que Zeus, Déméter, Hestia, Héra, Poséidon et Hadès gagnent les cimes du mont Olympe.
    Zeus libère les Hécatonchires et les Cyclopes du Tartare et, en récompense, reçoit de ces derniers le trait de foudre, qui lui sert à vaincre les Titans17. Dans une version plus ancienne du texte d’Hésiode, les Hécatonchires repoussent les Titans jusqu’aux tréfonds de la Terre, où ils les enchaînent. Cronos partage le sort des vaincus au Tartare18. Dans une autre œuvre d’Hésiode, les Travaux et les Jours, on apprend que Zeus accorde aux héros de vivre dans les îles des Bienheureux, aux confins de la Terre ; un vers interpolé ajoute qu’ils séjournent « loin des Immortels, et Cronos est leur roi19 ». Un autre passage interpolé ajoute : « car le père des dieux et des hommes a dénoué ses liens, et aux héros fixés au bout du monde octroyé honneur et gloire20 ».

    Amours et postérité
    Initialement limitée aux six premiers Olympiens, la postérité de Cronos devait s’étoffer chez les auteurs récents. Ainsi, le poète crétois Épiménide fait-il naître Aphrodite, les Moires et les Euménides de ses amours avec Évonymé, tandis qu’une tradition isolée lui attribue la paternité des Dactyles par la muse Calliope. Les Hymnes orphiques lui reconnaissent également celle du dieu phrygien Sabazios et divers scholiastes lui donnent encore pour fille la nymphe Plouto, amante de Zeus et mère de Tantale. Enfin, Eustathios lui reconnaît un septième enfant par Rhéa en la personne du dieu guerrier Ényalios[réf. nécessaire], plus généralement considéré comme un fils d’Arès (voire comme un épithète de ce dernier).
    Le Catalogue des femmes attribué à Hésiode fait état de son adultère avec l’Océanide Philyra. Surpris par Rhéa, Cronos se métamorphosa aussitôt en cheval, aussi Philyra, le terme venu, donna-t-elle naissance sur le Mont des Tilleuls au Centaure Chiron (motif notamment repris par les poètes Le pseudo-Apollodore, Apollonios de Rhodes, Ovide et Hygin). De Cronos et de Philyra naquirent encore Dolops21 et le roi de Libye Aphros, ancêtre des peuples carthaginois et libyens22.
    À cette liste viennent encore s’ajouter les enfants attribués à Cronos par les traditions à caractère évhémériste. Ainsi, l’historien Philon de Byblos, dans son Histoire des Ouranides, prétend qu’ayant épousé Rhéa, Cronos aurait simultanément pris pour maîtresses deux des sœurs de cette dernière, Dioné et Aphrodite ou Astarté, puis engendré avec cette dernière Pothos, l’un des dieux de l’Amour.

    Dans la tradition orphique

    La tradition orphique présente un personnage assez différent de celui de la tradition hésiodique, assimilé à la divinité du temps Chronos. Dans la version la plus ancienne, Cronos fait partie, avec Ouranos, Zeus et sans doute Dionysos, des quatre divinités primordiales issues de Nyx, la nuit. Dans le Timée de Platon, Cronos y est le fils de d’Océan et de Téthys, eux-mêmes enfants d’Ouranos et Gaïa23. Dans les Rhapsodies orphiques, plus récentes, Phanès ou Métis émerge le premier et règne sur le monde ; Nyx lui succède, puis Ouranos, puis Cronos. Celui-ci a la souveraineté à la fois sur le ciel et la terre ; son règne correspond à l’Âge d’or.

    Étymologie[modifier]

    Plusieurs étymologies ont été suggérées, notamment « l’Avaleur » 24, mais sans rencontrer de consensus25. Dès l’Antiquité, on rapproche son nom de l’homophone Chronos (grec Χρόνος / Khrónos, mais cette étymologie populaire ne repose sur aucune base linguistique25.
    Attributs[modifier]

    Ses attributs : La faux, le sablier.
    Sources[modifier]

    Apollodore, Bibliothèque [détail des éditions] [lire en ligne] (I, 1 & 4).
    Cicéron, De la nature des Dieux [détail des éditions] [lire en ligne] (III, 17).
    Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions] [lire en ligne] (V, 65, 1 ; V, 68, 1).
    Hésiode, Théogonie [détail des éditions] [lire en ligne] (v. 116, 167 et suiv., 453).
    Homère, Iliade [détail des éditions] [lire en ligne] (XV, 187).

    Notes[modifier]

    ↑ Hésiode, Théogonie [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], 131-138.
    ↑ Par exemple Homère, Iliade [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], II, 205 et Théogonie, 137.
    ↑ Traduction de la Théogonie par Paul Mazon.
    ↑ Traduction de l’Iliade par Eugène Lasserre.
    ↑ Cité par Pierre Chantraine, Dictionnaire étymologique de la langue grecque, Paris, Klincksieck, 1999 (édition mise à jour) (ISBN 2-252-03277-4) à l’article ἀγκ-.
    ↑ Gantz, p. 10.
    ↑ Théogonie, 160-172.
    ↑ Par rapprochement entre Τιτᾶνες, « Titans » et τιταίνοντας « tirant », étymologie populaire sans fondement. Chantraine à l’article Τιτᾶνες.
    ↑ Théogonie, 163.
    ↑ Théogonie, 491.
    ↑ Apollodore, Bibliothèque [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], I, 1, 4-5.
    ↑ Dans la version orphique, seuls les mâles sont avalés, frag. 58 Kern.
    ↑ Théogonie, 463-491.
    ↑ Apollodore, Bibliothèque, I, 2, 1.
    ↑ Pausanias, Description de la Grèce [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], X, 24, 6.
    ↑ Frag. 154 Kern.
    ↑ Théogonie, 687-712.
    ↑ Théogonie, 851.
    ↑ Théogonie, 169a. Extrait de la traduction de Paul Mazon.
    ↑ Théogonie, 169b-e. Extrait de la traduction de Paul Mazon.
    ↑ Hygin, Fables [détail des éditions] [(la) lire en ligne [archive]], préface.
    ↑ Souda [(en)(grc) lire en ligne [archive]], s.v. Aphroi
    ↑ Platon, Timée, 40d-e.
    ↑ Cité par Lévêque et Séchan, p. 62, note 19.
    ↑ a et b Chantraine à l’article Κρόνος.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Cronos

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