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Icônes d’Algérie par Abed Charef

5 avril 2012

Abed Charef

Icônes d'Algérie par Abed Charef dans Abed Charef Zohra-Drif-Bitat-300x199L’Algérie doit protéger ses monuments et ses symboles. Ne plus permettre que des icônes, comme Zohra Drif, soit mises en accusation par des criminels et des colons.Zohra Drif n’est pas seulement une sénatrice. C’est une icône. Un symbole. Une de ces personnes dont on croise le nom dans les livres d’histoire, et qu’on est tout surpris quand, à la faveur d’un évènement quelconque, on découvre qu’elle est là, en chair et en os. On s’adresse à elle comme on s’adresse à l’héroïne d’un film ou d’un roman : on ne sait pas trouver le ton juste, ni les bonnes formules. 

A 74 ans, cette dame, qui fut belle, courageuse, engagée, et qui voulut être libre dans son pays, garde toujours cette auréole qui entoure les femmes de sa stature. Elle symbolise un combat, un moment de l’histoire, une cause. Et son nom déborde, pour englober des idées, des concepts, des causes parfois inattendues. Elle est la liberté, la solidarité, le sacrifice, le don de soi.

On ne sait, au bout du compte, si c’est elle qui a habité son combat, ou si c’est son combat qui l’a habitée. Son nom et son combat ne font qu’un. Elle est Zohra Drif, mais elle aurait été Djamila Bouhired, rien n’aurait changé. Ces femmes ont forcé le destin, et l’Histoire les a adoptées. Elles font partie des monuments d’un pays, des monuments qu’il faut protéger contre l’usure du temps.

Et le temps est, précisément, à un révisionnisme dévastateur, un révisionnisme qui pousse une dame de cette stature à se retrouver face à des petits colons au discours intolérable. Invitée à parler de la guerre de libération, en commémoration du cinquantième anniversaire de l’indépendance, Zohra Drif a été confrontée à des gens qui déplorent que cette dame ait fait ce qu’elle a fait. Elle s’est battue « pour une cause qu’elle considère encore aujourd’hui comme juste. Elle va jusqu’à poser une bombe dans un bar fréquenté par les pieds-Noirs. Et tue », déplorent ses interlocuteurs.

Oui, elle tue. Parce que dans une guerre, faut-il le rappeler, on tue. On tue pour se libérer, pour défendre sa dignité, sa terre, son pays. Ou pour opprimer un peuple, pour maintenir les victimes dans l’esclavage, pour maintenir sa domination. Pour détruire un ordre colonial ou pour le préserver. Là est la différence.

Zohra Drif assume évidemment son combat. Il ne s’agit pas de « confrontations personnelles », mais une guerre entre deux systèmes, l’un qui veut libérer un pays, l’autre qui veut le maintenir asservi. Mais ceux qui l’ont invitée à débattre déplorent qu’elle « demeure d’une froideur déconcertante ». Parce que ces nouveaux colons veulent des excuses. Ils demandent à Zohra Drif de s’excuser auprès de ses victimes. Lors d’un débat organisé à Marseille, ils déplorent que le public soit dans « l’attente d’excuses qui ne viendront jamais ». Et, au final, le site d’un célèbre magazine nous raconte que quand Zohra Drif a été interpellée par une personne blessée dans un attentat, elle « a détourné la tête pour ne pas avoir à croiser son regard ». C’est que la grande dame aurait honte de son geste, peut-être.

De tels propos sont dans la ligne de la loi du 23 février 2005, la fameuse loi votée sous jacques Chirac, et qui mettait en avant les aspects positifs de la colonisation. Quand cette loi avait été adoptée, divers prétextes avaient avancés pour expliquer la bavure. On avait parlé d’un lobby électoral, d’une loi sans importance adoptée par « inadvertance », d’un manque de vigilance de la part du gouvernement français, etc.

Mais ce qui se dit aujourd’hui par une partie des hommes politiques et des intellectuels français contredit ces explications. Car les faits sont là, têtus : la loi du 23 février avait été adoptée par l’assemblée Nationale, l’institution qui représente le mieux la France. Malgré la position tranchée de certains intellectuels français qui en ont dénoncé le contenu, le contenu de cette loi reflète une pensée largement répandue en France, et qui s’exprime de plus en plus ouvertement, y compris chez des gens qui n’ont pas de rapport direct avec la guerre d’Algérie.

Où serait l’erreur, alors ? Elle est peut-être côté algérien : Zohra Drif, Djamila Bouhired et les autres n’ont pas à débattre avec des criminels, ni avec des révisionnistes et leurs héritiers. Un demi-siècle après l’indépendance, elles n’ont pas à supporter un public de colons, ni des intellectuels qui dénient au plus faible le droit de se défendre. C’est d’autant plus inadmissible qu’aucun tortionnaire n’a été jugé pour crime de guerre ou crime contre l’humanité, alors qu’il était si facile de les confondre.

En cette année du 50ème anniversaire de l’indépendance, ces monuments de l’histoire du pays seront fortement sollicités. Et ça commence plutôt mal, car des maladresses ont amené ces icônes à s’exprimer devant un public qui leur demande de s’excuser. Pas moins. Mohamed Harbi, rappelons-le, a été confronté à un débatteur qui lui a reproché d’avoir introduit le terrorisme en France durant la guerre de libération.

Cette conjoncture délicate implique une protection particulière pour ces icônes, d’autant plus que nombre d’entre elles sont atteintes par l’âge. Leur expression ne doit plus être laissée à la portée de journaux approximatifs, de propagandistes soucieux d’imposer des idées révisionnistes, ni même de ces « amis » qui insistent sur ce que nous avons fait de notre indépendance.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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10 Réponses à “Icônes d’Algérie par Abed Charef”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Zohra Drif, (arabe : زهرة ظريف) est une femme politique algérienne. Avocate retraitée, elle est sénatrice et vice-présidente du Conseil de la nation.
    Elle fut l’épouse de Rabah Bitat, un des neuf chefs historiques du FLN. Elle est considérée en Algérie comme une « héroïne » de la Révolution algérienne, ayant lutté pour l’indépendance de ce pays et contre sa colonisation par la France ; elle était alors connue notamment pour ses activités dans le « Réseau bombes » lors de la bataille d’Alger, aux côtés d’Ali la Pointe, Hassiba Ben Bouali et Yacef Saâdi, chef de la Zone autonome d’Alger.

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    • Djeghbala Djemai Dit :

      50 ans apres l’histoire est devoilee au grand jour. Ces revolutionnaire a la reputation surfaite, qu’ont ils fait de l’Algerie independante? ont ils denonce la corruption? ont ils denonce l’injustice? ont ils denoncer le truquage, le piston, le copinage et le vol a grande echelle? ont ils denonce le fait que des jeunes algeriens meurent dans des bateaux de fortune pour fuir leur independance? ont ils fait la moindre opposition au regime oppresseur qui a remplace les colons? Si vous avez repondu oui a l’une des questions alors oui on a des icones , sinon taisez vous……et Merci…..Quand on fait son marche en France, on se soigne en France et on fait tout en France on doit se calmer…..

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  2. Artisans de l'ombre Dit :

    Biographie

    Enfance et études[modifier]
    Zohra Drif naît en 1934 à Vialar dans une famille bourgeoise. Son père, cadi à Vialar l’envoie terminer ses études à Alger, au lycée Fromentin et par la suite à la faculté de droit d’Alger. Avec la littérature, elle découvre le Siècle des Lumières, la Révolution française de 1789 et les libertés individuelles, ce qui l’amène à réfléchir à la situation en Algérie, révoltée par la colonisation et par la différence de traitement entre colons, indigènes juifs et indigènes musulmans.

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  3. Artisans de l'ombre Dit :

    Militantisme terroriste et prison
    Le 30 septembre 1956, la cellule dont elle fait partie la charge de placer une bombe dans un café-bar, le « Milk Bar », fréquenté par des Pieds-Noirs : l’attentat tue trois jeunes femmes et fait une douzaine de blessés, dont de nombreux enfants. Arrêtée avec Yacef Saâdi dans le refuge de la rue Caton de la casbah d’Alger, Zohra Drif est condamnée en août 1958, à vingt ans de travaux forcés par le tribunal militaire d’Alger pour terrorisme. Enfermée alors au quartier des femmes de la prison de Barberousse, elle est transférée ensuite dans diverses prisons françaises. Elle vit alors dans l’obsession de la peine capitale. En 1960, toujours en prison, elle écrit son témoignage intitulé la Mort de mes frères. Zohra Drif est finalement graciée par le général de Gaulle lors de l’indépendance de l’Algérie en 1962.

    En 2012, lors d’un colloque à Marseille, interpellée sur ce sujet par Bernard-Henri Lévy, elle ne manifeste aucun remord ni regret et déclare que les enfants et les femmes bvictimes de sa bombe étaient eux aussi « partie prenante du système » français

    Après l’indépendance
    Elle est avocate, enseignante, députée et puis vice-présidente du Conseil de la nation, Zohra Drif fait partie des critiques du code de la famille, dès sa promulgation, en 1984.
    Elle préside aussi le Groupe d’amitié Algérie-France au Conseil de la nation, le rôle de ce groupe, selon elle : est de « promouvoir des relations d’amitié avec le peuple français », des « relations de confiance » entre parlementaires algériens et français, de « discuter des problèmes qui intéressent nos deux peuples en toute franchise ». Et d’indiquer : « Dès la Déclaration du 1er novembre 1954, le FLN a dit, et cela a été ensuite constant, que nous combattons les forces colonialistes et non le peuple français ».

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    Cinquante ans après l’attentat du Milk Bar, Zohra Drif ne regrette rien

    Lors d’un forum débat co-organisé par Marianne-France Inter-El-Khabar qui s’est tenu à Marseille les 30, 31 mars et 1er avril 2012 sous le thème « La guerre d’Algérie, cinquante ans après », Zohra Drif n’a rien regretté de son acte; à son entrée sur scène en présence de Danielle Michel-Chich une des victimes de l’attentat du Milk Bar, âgée alors de 5 ans, Zohra Drif s’attire déjà les foudres du public : « Vous êtes une criminelle de guerre ! Vous avez tué des enfants ! ». Elle s’est defendue en ces termes : « Nous avons pris les armes pour combattre un système. Ce genre de système ne vous laisse d’autre choix que de mourir pour vivre dans votre pays. » Lorsque Danielle Michel-Chich, l’interroge sur la légitimité de son geste, Zohra Drif se contente de répondre : « Ce n’est pas à moi qu’il faut vous adresser, c’est à l’Etat français qui est venu asservir mon pays. A titre personnel et humain, je reconnais que c’était tragique, tous ces drames, les nôtres comme les vôtres. Nous étions pris dans une tourmente qui nous dépassait, qui vous dépassait.»3. Elle poursuit en justifiant les actes terroristes par l’état de guerre, considérant leurs victimes tout aussi inévitables que par exemple, dans une autre guerre, celles du bombardement de Dresde4.

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    • Djeghbala Djemai Dit :

      Sa reponse est un outrage a l’humanite. Elle aurait pu dire, « 50 ans apres, j’etais jeune et je n’avais pas prevu de mutiler une enfant de 5 ans et de tuer sa grande mere, c’est un geste desolant que je regrete de ce point de vue. On reagissait a la terrible repression de la 10eme DP qui a commis des crimes contre l’humanite atroce contre une population pauvre et desarmee. Alors on croyait repondre avec les moyens de bord contre cette repression et non contre des civils innocents ». Notre revolution est noble. Ella a ete sauvagement violee par ceux qui ont pris le pouvoir par la violence utilisant une armee qui n’a pas combattu pour annihiler ce qui restait de la resistance avec la complicite de Yacef Saadi qui a ouvert la porte aux criminels BenBella qui a commence par eliminer le jeune colonnel de l’interieur Chabani et bcp ont ete assassine sauvagement avant et apres comme le grand Abane, Ben M’hidi (mysterieusement vendu), Ali, Omar, Khemisti, Khider,,,,jusqu’aux disparus des dernieres annees…..Non glorifier ceux qui se sont tu ce n’est pas juste. LA revolution de Nov 1954 etait contre l’injustice avant et apres 1962…..

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  5. Artisans de l'ombre Dit :

    ttentat du Milk Bar : rien, Zohra Drif, ne regrette rien
    Rédigé par Pauline Chambonnet et Laure Cousin (EJCM) le Dimanche 1 Avril 2012

    S’ABONNER À MARIANNE+ IMPRIMER AUGMENTER LE TEXTE DIMINUER LE TEXTE
    La rencontre entre Zohra Drif, la poseuse de bombes du Milk Bar, et Danielle Michel-Chich, une de ses victimes, était attendue. Mais la confrontation n’a pas tenu ses promesses, Zohra Drif se contentant d’expliquer que c’est l’Etat français qu’elle visait…

    Zohra Drif aux côtés de Bernard-Henri Lévy, Nicolas Domenach et Maurice Szafran.
    A peine entrée sur scène, Zohra Drif s’attire déjà les foudres du public : « Vous êtes une criminelle de guerre ! Vous avez tué des enfants ! ». Face à ces accusations, elle reste de marbre, sans doute habituée. Pour ne pas trahir sa pensée, l’ancienne militante pour l’indépendance choisit de lire son texte comme un discours bien rôdé. La salle plonge alors dans le silence, dans l’attente d’excuses qui ne viendront jamais : « Nous avons pris les armes pour combattre un système. Ce genre de système ne vous laisse d’autre choix que de mourir pour vivre dans votre pays. »

    Zohra Drif est née en 1938 dans une Algérie alors considérée comme française. Pendant ses études, elle découvre les grands philosophes qui l’amènent à s’interroger sur la condition de son propre pays. Convaincue que « les Algériens méritent plus qu’un simple statut de sujet », elle s’engage dans la lutte pour l’indépendance et rejoint le « Réseau des bombes », en cheville avec le Front de Libération Nationale (FLN). Pour une cause qu’elle considère encore aujourd’hui comme juste, elle va jusqu’à poser une bombe dans un bar fréquenté par les pieds-Noirs. Et tue. Pourtant Zohra Drif, aujourd’hui, persiste et signe. Et même minimise : « J’ai posé une petite bombinette » !

    La salle reste sous le choc de cette déclaration. Bernard-Henri Lévy, qui débattait avec elle ne manque pas de l’interpeller : « La cause pour laquelle vous vous êtes battue est une cause juste. Mais il arrive que des causes justes soient défendues par des actes injustes ». Zohra Drif ne se décontenance pas, elle décrit alors les exactions qu’elle a vu de ses propres yeux, des horreurs qui justifieraient son acte : « Nous étions en guerre, et non dans des confrontations personnelles, c’était une tourmente qui a dépassé nos deux pays. »

    Danielle Michel-Chich l’interpelle depuis la salle.
    Confrontée aux questions de la salle, Zohra Drif demeure d’une froideur déconcertante. Sans doute se protège-t-elle derrière des réponses qu’elle assène depuis des années. Car comment pourrait-elle renier cet acte ? Ce serait renier le système auquel elle adhère depuis sa jeunesse. Et même lorsque Danielle Michel-Chich, une de ses victimes de l’attentat du Milk Bar, l’interroge sur la légitimité de son geste, Zohra Drif se contente de répondre : « Ce n’est pas à moi qu’il faut vous adresser, c’est à l’Etat français qui est venu asservir mon pays. » A la sortie de la conférence, les deux femmes se sont croisées. Zohra Drif a détourné la tête pour ne pas avoir à croiser son regard…

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  6. SARAH Dit :

    Je suis très fière d’être une ALGÉRIENNE. Oui nous somme les femmes de cette terre,Celle quelle nous adore et nous en l’adore.
    Pour faire crier un immanence peuples comme le peuples « ALGÉRIENS » vraiment il te faut.
    Pour « ZOHRA DRIF » moi je l’aime trop j’ai vue chez elle l’héroïsme qui vaut plus que le diamant du monde.
    vraiment chapeau.
    Pour chaque jours et pour toujours……. VIVE L’ALGÉRIE…………..

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    • Djeghbala Djemai Dit :

      Festi flagrant! Vous etes fiere d’etre algerienne tout en faisant une chaine de 50km au consulat de France pour avoir un visa. Un peuple digne continue la lutte chez lui et repare les injustices chez lui et meurt chez lui jusqu’a ce que justice soit retablie et non pas hurler sa fierte de Paris ou Geneve ou Massachissets…..

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  7. nath. Dit :

    J’ai beaucoup lu au sujet de cette femme meurtrie par la guerre d’indépendance.il est évident qu’une victime veuille rencontrer,connaître le sentiment de celui qui lui à causé un préjudice, cependant je trouve inapproprié que cette rencontre ait eu lieu en public,soit médiatisée.cela laisse penser qu’il s’agit davantage d’une rencontré politique que « d’apaisement » surtout avec la présence d’un autre invité.le titre du livre S’adresse certainement aux lecteurs et non à cette zohra.personnellement ce qui me trouble dans le personnage de zorah c’est qu’elle est issue de privilèges, bien loin du petit peuple qui dit survivre au jour le jour.cela peut faire douter de son engagement.je trouve ridicule d’attendre de cette femme qu’elle s’humillie et se répande en regrets, c’est une femme politique, qui à agi dans un contexte d’opposition et non l’auteur de meurtre pris de folie.Si elle avait renoncé face aux paisibles promeneurs, c’est toute la « résistance » qui serait touchée.ce fut ainsi. il est probable que cette femme regrette ou même souffre de son acte mais il est impensable qu’elle le crie car cela aurait un impact sur toute l’ histoire et on ne mélange pas politique et sentiments.

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