• Cela fait plus de deux ans, après trois ans de pur bonheur avec TOI à mes côtés, que tu as décidé de ne plus être mienne ! Je ne vais pas me morfondre sur moi-même, ni pleurer sur notre sort, ni même te demander pourquoi, puisque je me suis construit un «pourquoi» avec le temps qui passe.
Je voudrais te dire, à travers cet espace, que mon journal préféré nous a dédié, permettant aux jeunes comme aux vieux et moins vieux de s’exprimer, que ton image reste gravée en moi, que l’image de ton sourire m’accompagne toujours et apaise souvent la solitude de mes longues et douloureuses nuits blanches. Les flash-back de plus en plus répétés, qui émanent peut-être de la folie amoureuse, me font de plus en plus souvent revivre ce qu’on a pu vivre ensemble, et mes songes moins fréquents me donnent l’image de ce qu’on aurait pu vivre si seulement… Zina dyali, comme je t’appelais souvent, je ne te dirais pas «je t’aime», comme l’attend peut-être chacun et chacune en lisant mon texto parce que ça serait de l’hypocrisie, mais je voudrais seulement te dire que je ne t’ai jamais oublié et je ne t’oublierai jamais
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http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/04/09/article.php?sid=132628&cid=49
9 avril 2012
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