• Un très grand salut à toi, celle dont le monde a voulu me priver, sauf que malheureusement le cœur qui bat pour toi est inébranlable et que peu importe ce qui sort malencontreusement des bouches de ceux ou de celles qui t’en veulent comme ils m’en veulent. J’ai et j’aurais à jamais la certitude chevillée que ce qu’ils font ne sera qu’une bêtise maladroitement commise par des personnes dont la seule et unique préoccupation est de médire de toi et de moi. Et maintenant Sana, je te prie de bien prendre en conscience ce que tu ressens au fond de toi-même et à mon sens, je vois que le temps est venu pour que tu me dises quelque chose de façon solennelle pour que j’aie le pouvoir de dire à tous ceux-ci et celles-là : faites ce que vous voulez ! Enfin Sana, je veux finir par une citation qui m’a beaucoup plu : «Aimer, ce n’est pas regarder l’un l’autre, c’est plutôt regarder tous les deux dans la même direction.» De la part de celui qui n’a pas encore su comment conjuguer le verbe Aimer à tous les temps.
Yaakoub
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http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/04/17/article.php?sid=132961&cid=49
17 avril 2012
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