À propos de Artisan de l'ombre
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie
Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme .
Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali …
Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère .
Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains.
Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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13 juin 2012 à 9:31
Sports
L’affaire Nasri, symptôme des liaisons parfois dangereuses
PUBLIÉ LE 13/06/2012 À 05H05
Si Noël Le Graët affirme avoir « classé » l’affaire Nasri, arrogant et insultant après son but face à l’Angleterre,
c’est tout le système parfois tangent des relations entre les sportifs et la presse qui est mis en lumière.
Au plus près du bâtiment des Bleus, hier, pas de trace d’effusion de sang, alors qu’on sait que, dans l’après-midi, Noël Le Graët a vu Samir Nasri. On plaisante pour mettre un peu de distance dans cette histoire pas très reluisante, comme souvent ces derniers temps avec le foot. Voilà, comme au Mondial sud-africain, en 2010, comme à la plus récente Coupe du monde de rugby, les sportifs entretiennent des relations tendues, voire ambiguës, avec les journalistes qui les suivent. Notamment ceux de L’Équi- pe, dont les papiers ont un impact considérable.
Blanc : « Ça ne m’intéresse pas »
« On va essayer de classer le plus vite possible cette affaire qui n’en est pas une. Chacun peut avoir un petit « pétage de plomb ». Je n’y pense plus », a assuré Le Graët, soucieux de circonscrire un début d’incendie. « Ça ne m’intéresse pas, a balayé Blanc.
Si vous avez des choses à régler, vous êtes des grands garçons… » Rappel rapide des faits : Nasri, irrité par son traitement médiatique, notamment celui de L’Équipe (qu’il a clairement désigné après la rencontre), a fêté son but en posant son doigt sur la bouche et semblé prononcer la phrase suivante : « Vous, ferme ta gueule. » S’il s’est excusé devant les caméras de TF1 et son public familial, le milieu de Manchester City a assuré à d’autres médias qu’il ne « regrettait rien ». Enfin, à ceux de la presse écrite qui l’attendaient depuis deux heures et qui lui ont fait remarquer qu’il pourrait prendre quelques instants, il a rétorqué : « Je ne vous ai pas demandé de m’attendre. » Sympa.
Bref, Nasri, comme Dugarry qui avait tiré la langue après son but face à l’Afrique du Sud en 1998, a souhaité exprimer son ras-le-bol. Sauf que, comme l’a remarqué Dugarry hier, le Mancunien n’a pas subi un dixième de ce que lui endurait alors. Les articles visés n’ont fait état que de ses performances en demi-teinte pendant la préparation, ce qui était fondé. Mais c’est sans doute plus complexe puisqu’un écho, où le journal annonçait que Manchester City ne voulait plus de lui, aurait aussi pu participer à son courroux. Si c’est le cas, le joueur peste contre la mauvaise publicité que lui fait le journal, qui n’est pas là pour ça. Un journal dont il a pu se servir, parfois, pour faire passer ses propres messages.
Deux ans après Knysna, alors qu’à tous les étages de la FFF on s’attelle à redorer le blason du foot français, le coup tombe mal. L’histoire n’est pas bien épaisse et elle ne sera qu’un mauvais souvenir si les Bleus battent l’Ukraine, vendredi. Une défaite, elle, pourrait faire ressurgir certains fantômes. On ne le souhaite vraiment pas. PHOTOS AFP
À KIRCHA, PAR A. P.
La Voix Du Nord
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